Entrainement Hebdomadaire
Posté : sam. avr. 04, 2020 6:12 pm
Aujourd'hui aurait été la première journée des entrainements hebdomadaires de la forteresse.
Ici et là les soldats se seraient entrainés ensemble à tour de rôle, certains devant les murs de la ville sous l'autorité d'un officier supérieur, d'autres dans l’arène de Valakas où auraient également été reçus les volontaires parmi la population pour intégrer la milice.
C'est dans le début de soirée que le sombre Vahlok Borgne aurait rejoint l’arène, lance de bois en main, pour prendre part aux entrainements et dispenser quelques conseils aux soldats et membres de la milice.
La première leçon aurait été faite sur l'allonge, donnant quelques conseils aux soldats, nouveaux soldats, et miliciens pour faire bon usage de l'allonge de son arme, comment maintenir par un jeu de jambe une allonge appropriée avec son adversaire, ou comment réduire l'allonge d'un adversaire si celui-ci en a une plus longue... d'allonge.
Puis vinrent quelques conseils sur le style de combat à adopter selon l'adversaire, les ennemis dotés d'armes ne devant pas être combattus de la même façon que les créatures attaquant avec leurs griffes et leurs crocs : Frapper l'arme d'un adversaire ne fait que dévier son coup, le parer, ne permettant ainsi que gagner du temps ou épuiser son adversaire. Une différence fondamentale avec une créature qui, elle, souffrira énormément de recevoir un coup d'épée dans sa patte ou dans sa gueule.
Le Vahlok prit cependant le temps de préciser que face à un mort-vivant ou une créature enragée, l'un comme l'autre ne craignant pas la mort, il fallait toujours garder une distance de sécurité puisque même en l'empalant cela ne l’empêcherait pas d'attaquer, conseillant donc un bon jeu de jambe pour tourner autour de l'ennemi ou s'en éloigner au fur et à mesure qu'il s'approche : Une technique à adopter selon la force de la créature bien entendu, un monstre faible pouvant être repoussé par un bouclier tandis qu'une créature trop puissante arrachera le bouclier et le bras le tenant sans le moindre mal : Auquel cas il faudrait jouer sur la distance et l'allonge... D'autant plus vu la lenteur de nombre de mort-vivant !
Le dernier point mis en avant fut l'OPPORTUNITÉ !
Œuvrant ensemble dans une milice, une armée, ils ne seraient jamais seuls et souvent en supériorité numérique. Ils devraient œuvrer ensemble : Par exemple, profiter qu'un ennemi assaille un camarade pour venir assister cet allié en frappant la créature dans le dos !
De même il serait bon pour eux d’œuvrer de concert avec un camarade pour toujours assaillir un ennemi avec la supériorité numérique.
Il aurait achevé la leçon en confiant un exercice à ses recrues et soldats confirmés, laissant dix miliciens et cinq soldats défendre l'arène, confiant a une dizaine de soldat la charge de pénétrer l'arène et d'aller assaillir les mannequins s'y trouvant : Les défenseurs avaient l'avantage du terrain et du nombre comme dans la plupart des assauts qui auraient lieu sur la forteresse. Les assaillants eux étaient mieux entrainés, plus forts, comme souvent lors des assauts sur la forteresse...
Vingt minute d'une simulation de combat avec des armes de bois, un entrainement des plus réel.
Il les aurait abandonné là en leur souhaitant bonne chance et en promettant de payer les consommations pour le soir même.
Il laissa à un officier la charge de répéter cette leçon et cet entrainement avec le reste des troupes et des miliciens.
Ici et là les soldats se seraient entrainés ensemble à tour de rôle, certains devant les murs de la ville sous l'autorité d'un officier supérieur, d'autres dans l’arène de Valakas où auraient également été reçus les volontaires parmi la population pour intégrer la milice.
C'est dans le début de soirée que le sombre Vahlok Borgne aurait rejoint l’arène, lance de bois en main, pour prendre part aux entrainements et dispenser quelques conseils aux soldats et membres de la milice.
La première leçon aurait été faite sur l'allonge, donnant quelques conseils aux soldats, nouveaux soldats, et miliciens pour faire bon usage de l'allonge de son arme, comment maintenir par un jeu de jambe une allonge appropriée avec son adversaire, ou comment réduire l'allonge d'un adversaire si celui-ci en a une plus longue... d'allonge.
Puis vinrent quelques conseils sur le style de combat à adopter selon l'adversaire, les ennemis dotés d'armes ne devant pas être combattus de la même façon que les créatures attaquant avec leurs griffes et leurs crocs : Frapper l'arme d'un adversaire ne fait que dévier son coup, le parer, ne permettant ainsi que gagner du temps ou épuiser son adversaire. Une différence fondamentale avec une créature qui, elle, souffrira énormément de recevoir un coup d'épée dans sa patte ou dans sa gueule.
Le Vahlok prit cependant le temps de préciser que face à un mort-vivant ou une créature enragée, l'un comme l'autre ne craignant pas la mort, il fallait toujours garder une distance de sécurité puisque même en l'empalant cela ne l’empêcherait pas d'attaquer, conseillant donc un bon jeu de jambe pour tourner autour de l'ennemi ou s'en éloigner au fur et à mesure qu'il s'approche : Une technique à adopter selon la force de la créature bien entendu, un monstre faible pouvant être repoussé par un bouclier tandis qu'une créature trop puissante arrachera le bouclier et le bras le tenant sans le moindre mal : Auquel cas il faudrait jouer sur la distance et l'allonge... D'autant plus vu la lenteur de nombre de mort-vivant !
Le dernier point mis en avant fut l'OPPORTUNITÉ !
Œuvrant ensemble dans une milice, une armée, ils ne seraient jamais seuls et souvent en supériorité numérique. Ils devraient œuvrer ensemble : Par exemple, profiter qu'un ennemi assaille un camarade pour venir assister cet allié en frappant la créature dans le dos !
De même il serait bon pour eux d’œuvrer de concert avec un camarade pour toujours assaillir un ennemi avec la supériorité numérique.
Il aurait achevé la leçon en confiant un exercice à ses recrues et soldats confirmés, laissant dix miliciens et cinq soldats défendre l'arène, confiant a une dizaine de soldat la charge de pénétrer l'arène et d'aller assaillir les mannequins s'y trouvant : Les défenseurs avaient l'avantage du terrain et du nombre comme dans la plupart des assauts qui auraient lieu sur la forteresse. Les assaillants eux étaient mieux entrainés, plus forts, comme souvent lors des assauts sur la forteresse...
Vingt minute d'une simulation de combat avec des armes de bois, un entrainement des plus réel.
Il les aurait abandonné là en leur souhaitant bonne chance et en promettant de payer les consommations pour le soir même.
Il laissa à un officier la charge de répéter cette leçon et cet entrainement avec le reste des troupes et des miliciens.